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Thierry Weinberg

Thierry Weinberg est un entrepreneur souvent qualifié d’ «utile » : fondateur du cabinet DoubleV Conseil depuis désormais 5 ans, il aide les sociétés à réduire leurs principaux postes de dépenses et à récupérer les subventions auxquelles elles ont droit.

Sécurité, Nettoyage, Télécommunications, Bureautique, Recrutement, Charges sociales et fiscales…tous les débours d’une entreprise sont propices à optimisation selon ses dires,

« Nous sommes capables de diminuer d’environ 10% l’ensemble des postes de dépenses d’une société » affirme-t-il avec conviant.

Fondé en 2009 et situé à Paris, le cabinet se targue de jolies références clients parmi lesquelles HSBC, Etam, Vente Privée, Nexity, Franck Provost, Schneider Electric, Casino et Carrefour.

Pourtant, passé le cap des formules de politesse et des introductions convenues, on sent que Thierry Weinberg dénote avec l’univers feutré des « cost killeurs ». Souriant, blagueur, très (trop ?) décontracté, sa personnalité interroge.

Alors, lorsqu’on le questionne sur les raisons qui l’ont motivées à se lancer dans un tel business, Thierry Weinberg admet non sans humour « j’avais du mal à payer mes propres PV, si jamais un jour on m’avait dit que j’optimiserai les taxes foncières d’un tiers, jamais je n’y aurai cru ! »

Mais le parcours de Thierry Weinberg n’est pas que celui d’un homme de coups/coûts. Il a aussi une dimension artistique. On comprend mieux…

Après avoir réalisé, dirigé et produit des pastilles humoristiques à la télévision – notamment sur France 2 et Canal + - il écrit actuellement son premier long métrage, produit par Manuel Munz (NDLR : producteur des « La vérité si je mens »). « Ça aura peut-être autant de succès que « le Baltringue » (le film de Vincent Lagaf’ sorti en 2008 qui réalisa 41 000 entrées) mais au moins j’aurai tenté ma chance » ajoute-t-il dans un grand éclat de rires.

Même dérision lorsqu’on lui demande si le poids de la pression familiale (son père Serge Weinberg est le Président de Sanofi) « Il a mis la barre si haute que désirer le même parcours serait semblable à vouloir battre Federer…en se mettant au tennis à 40 ans ».

Espérons tout de même pour lui, ses clients et son producteur que la pomme ne soit pas tombée trop loin d’arbre…